Affiche de Bruno Moynot imite mal les humains

Bruno Moynot imite mal les humains

Théâtre du Splendid

  • Paris, 75010
  • Du 05/11/2022 au 13/12/2022
  • Durée : 1h10
  • Tout public
  • À partir de 0 €
Ce spectacle n'est plus à l'affiche actuellement
Le premier seul en scène de Bruno Moynot.

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Comme le dit la présentation du spectacle qu’il a lui-même écrite : « Bruno Moynot, dans ce spectacle aux multiples facettes vous surprendra par son agilité physique et son érudition grégaire. Vous sortirez de là grandi ou agrandi, mais certainement pas indiffèrent. ». Ce seul en scène est une aventure burlesque, un voyage hilarant dans le cerveau de Bruno Moynot. Vous y croiserez un mime maltraité, un édredon sexuellement déviant, un voyant réfractaire, ou encore un scientifique électrocuté. Bref, ne ratez surtout pas ce spectacle. On ne présente plus Bruno Moynot... Ou plutôt si, mais rapidement, en quelques mots. En un seul peut-être : Preskovitch... Zadko Preskovitch, le voisin bulgare -mais surtout embarrassant- du cultissime « Le père noël est une ordure ». Ceci dit, il n’a pas fait que ça, il a commis d’autres choses avec la bande du Splendid, mais pas que ! mais ceci n’est pas un C.V et si vous voulez en savoir plus, y’a Wikipédia.

Distribution

Bruno Moynot

Équipe artistique

Les avis sur le spectacle

La presse en parle

Le Parisien

"Un spectacle « old school » et savoureux (…) , Le public se marre (…) "

Théâtre du Splendid

Théâtre du Splendid
Théâtre du Splendid
Théâtre du Splendid
Construit en 1896, il fut inauguré le 17 Octobre de la même année, sous le titre de Fantaisies Saint-Martin. C’était un théâtre de quartier, adroitement dirigé par le baryton Edmond Favart, ex de l’Opéra Comique. Les spectacles, alors, se composaient de deux parties. La première consacrée à la chanson et la seconde vouée à la représentation d’une piécette en un ou deux actes. Mais les destinées de la salle allaient évoluer considérablement avec l’arrivée dans les lieux, en juin 1907 des frères Comte (Georges et Léon) anciens administrateurs du Casino de Montmartre, un bruyant Caf-Conc du boulevard de Clichy. Sur le modèle des beuglants à succès de Montparnasse et de Montmartre, le lieu est un temps à la mode, le Casino était désormais classé comme un Café-Concert de qualité. Mais même si Mistinguett s’y produisit à ses débuts, l’événement majeur de l’histoire du Casino Saint-Martin c’est bien sur le passage du grand Maurice Chevalier, programmé en mai 1908. Il n’avait que dix-neuf ans et chantait le genre comique. Un tout mêlé de chants et de danses. Jusqu’à l’éclatement de la guerre (3 Août 1914) et même au delà, la réputation du Casino Saint-Martin ne cessa de s’affirmer. Après la guerre, la vogue du Caf-Conc commença à décliner au fur et à mesure que s’implantait ce nouveau monstre de curiosité : le cinématographe. Les petits établissements décentralisés s’étaient un à un laissés absorber par le cinéma. Rares étaient ceux qui résistaient encore. Sur les cent cinquante salles de Caf-Conc recensées à Paris au début du siècle, subsistaient : Bobino, l’Européen, Chansonnia, Gaîté-Montparnasse, Petit-Casino, et… le Casino Saint-Martin devenu Caf-Conc occasionnel. Pour le Casino Saint-Martin, le sort en était jeté. Il rouvrit, bien sur son plateau masqué par un écran, ce qui fit de lui le cinéma « Saint-Martin 48 ». Les artistes y revinrent, mélancoliques, présenter des attractions. En 1952, le Casino Saint-Martin (il avait retrouvé son titre) n’était plus qu’un cinéma. Plus tard la salle ne consacrera plus ses projections qu’aux films interdits aux mineurs. En 1981, grâce à une simple petite annonce parue dans le journal, c’est donc la salle d’un ex-cinéma porno que la bande du Splendid découvre. Le Casino Saint-Martin deviendra le 8 octobre 1981 : « Le Splendid Saint-Martin ».

48 Rue du Faubourg Saint-Martin
75010 Paris