- Paris, 75018
- Du 02/10/2022 au 08/01/2023
- Durée : 1h05
- Tout public
- À partir de 0 €
Découvrir le spectacle
20 ans, c’est l’âge du jeune homme assis face à nous.
Avec une drôlerie désarmante, il nous raconte ses 66 jours de lutte contre la maladie, ses 30 jours de Coupe du Monde 2018, sa chambre d’hôpital, son ardent désir de vivre.
Il se raconte et pense aux siens.
Il a 20 ans, s’appelle Théo et ne perd son sourire que rarement.
TTTT. "Théo Askolovitch signe un texte bluffant de sincérité, d’humour, et d’espoir, on rit profondément autant que l’on est ému !" Télérama
"Un choc bouleversant, plein d’humour et inoubliable !" La Provence
"On se surprend à rire beaucoup de cette histoire qui n’a pourtant rien de marrant." Vanity Fair
"On rit beaucoup tout au long du spectacle, mais sans qu’il fasse jamais l’impasse sur les difficultés, les peurs." Les Inrocks
Les avis sur le spectacle
La presse en parle
TéléramaTTTT. Théo Askolovitch signe un texte bluffant de sincérité, d’humour, et d’espoir, qui nous transporte et dont l’incarnation donne la rage de vivre. Une ode puissante à la famille (la sienne, dont il est très proche) et à l’espoir malgré la maladie, dont il ne nous épargne aucun détail. « J’ai voulu raconter mon histoire sans tricher mais en prenant du recul et avec le sourire, pour trouver de la poésie dans tout ça. » Face à la peur de la mort, le jeune homme se raccroche à la vie comme à la victoire de l’équipe de France durant la Coupe du monde de football 2018 qu’il suit en parallèle. Et on rit profondément autant que l’on est ému, devant cette victoire universelle mais surtout sienne, celle d’un grand artiste, comédien et auteur en devenir.
Vanity FairOn se surprend à rire beaucoup de cette histoire qui n’a pourtant rien de marrant. Théo Askolovitch a du talent – il n’en est d’ailleurs pas à sa première production – et de l’énergie à revendre. Alors qu’en bande sonore passent des extraits de matchs de foot – sa passion -, il saute sur place, boxe dans le vide… Il nous l’assure d’ailleurs, un sourire en coin : il aurait pu être un champion du ballon rond, si la maladie ne l’avait pas stoppé dans sa lancée. La salle rit. Théo Askolovitch ne se prend jamais au sérieux. C’est d’ailleurs certainement ce qui l’a sauvé.