- Paris, 75016
- Du 22/01/2023 au 24/01/2023
- Durée : 1h15
- Tout public
- À partir de 0 €
Ce spectacle n'est plus à l'affiche actuellement
Un hommage à l’humanisme et à l’humour corrosif de ce dandy, centralien, rebelle, artiste protéiforme au combien productif !
On n’est pas là pour se faire engueuler
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L'œuvre du grand Satrape du Collège de Pataphysique est tant d'actualité, alors plus qu’un récital ici, mais bien un spectacle à part entière avec chansons et poèmes. Un hommage à l’humanisme et à l’humour corrosif de ce dandy, centralien, rebelle, artiste protéiforme, au combien productif, disparu à 39 ans, pensé comme le reflet de notre époque.
Distribution
Julien Renon et Valérie Rogozinski
Équipe artistique
Auteur(s)
Boris Vian et Julien RenonMetteur(s) en scène
Julien Renon
Théâtre le Ranelagh
En 1931, la salle, transformée et agrandie, devint un cinéma d’art et d’essai, haut lieu cinématographique de la capitale fréquenté par des personnalités comme Gérard Philippe ou Marcel Carné, réalisateur du célèbre film "Les enfants du paradis", fréquemment programmé au Ranelagh. Le théâtre s’est ensuite diversifié et chaque direction a favorisé d’autres projets mêlant divers arts : cinéma et expositions au temps d’Henri Ginet, ancien élève de Fernand Léger et d’André Lhote ; cinéma et théâtre sous Claude Condroyer et Micheline Daguinot, qui programmèrent entre autre "La cantate à trois voix" de Paul Claudel, une mise en scène de Jean-Pierre Dusséaux ; musique, cirque et théâtre sous la direction de Madonna Bouglione. De 2005 à 2022, Catherine Develay choisit une programmation alliant principalement théâtre et musique, mettant en valeur l’acoustique de cette merveilleuse salle. Aujourd'hui Benjamin Dumas et Bénédicte Dubois (qui ont travaillé une dizaine d'années aux côtés de Catherine Develay) relèvent le pari de proposer des chefs d'œuvre du répertoire, en choisissant de mettre à l'honneur les grands classiques dynamisés pour que le Ranelagh reste un lieu où les émotions se partagent. La salle actuelle qui contient 300 places a conservé son caractère, notamment par les boiseries en chêne sculpté qui garnissent son orchestre et ses balcons, surmontés d’un plafond décoré de caissons peints. La salle, par cet attrait architectural, a été inscrite en 1977 sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
5 Rue des Vignes
75016 Paris