- Paris, 75010
- Du 10/10/2024 au 26/12/2024
- 19h15
Durée : 1h15 - Tout public
- À partir de 29,50 €
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Seul en scène, un jeune homme raconte, jour après jour, le cancer qui l’a envoyé à l’hôpital. Il rit pour faire semblant de ne pas avoir peur, il parle trop fort pour dompter sa colère. Pourquoi lui ? Il rudoie sa famille mais la garde tard le soir. Il se souvient de sa mère qu’une maladie lui a pris quand il avait quatorze ans. Il pense aux pièces qu’il voudrait encore jouer. Il espère qu’une victoire de l’équipe de France en coupe du monde le soignera aussi bien que ses chimiothérapies. Il est drôle, quand il ne pleure pas.
Distribution
Équipe artistique
Auteur(s)
Théo AskolovitchCollaboration artistique
François Rollin et Ludmilla DaboLumière
Nicolas Bordes
Réserver mes billetsÀ partir de 29,50 €
Les avis sur le spectacle
La presse en parle
TéléramaTTTT. Théo Askolovitch signe un texte bluffant de sincérité, d’humour, et d’espoir, qui nous transporte et dont l’incarnation donne la rage de vivre. Une ode puissante à la famille (la sienne, dont il est très proche) et à l’espoir malgré la maladie, dont il ne nous épargne aucun détail. « J’ai voulu raconter mon histoire sans tricher mais en prenant du recul et avec le sourire, pour trouver de la poésie dans tout ça. » Face à la peur de la mort, le jeune homme se raccroche à la vie comme à la victoire de l’équipe de France durant la Coupe du monde de football 2018 qu’il suit en parallèle. Et on rit profondément autant que l’on est ému, devant cette victoire universelle mais surtout sienne, celle d’un grand artiste, comédien et auteur en devenir.
Vanity FairOn se surprend à rire beaucoup de cette histoire qui n’a pourtant rien de marrant. Théo Askolovitch a du talent – il n’en est d’ailleurs pas à sa première production – et de l’énergie à revendre. Alors qu’en bande sonore passent des extraits de matchs de foot – sa passion -, il saute sur place, boxe dans le vide… Il nous l’assure d’ailleurs, un sourire en coin : il aurait pu être un champion du ballon rond, si la maladie ne l’avait pas stoppé dans sa lancée. La salle rit. Théo Askolovitch ne se prend jamais au sérieux. C’est d’ailleurs certainement ce qui l’a sauvé.
La Scala Paris
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75010 Paris